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(Clinique ophtalm ologique de l’Université de Liège [Prof. L. Weekcrs].) I n t r o d u c t i o n à l’é tu d e d e la f r é q u e n c e d e f u s io n e n c lin iq u e . P a r ROGER WEEKERS 1 et FERNAND ROUSSEL. Lorsque des phases d ’excitation lumineuse et des phases d’obscuration se suivent sur un rythme lent, le sujet sain perçoit successivement les périodes de lumière et d’obscurité. Si le rythme s’accélère, la sensation lumineuse ne subit plus d’interruption mais son intensité n’est pas constante, elle s’accroît à chaque éclaire ment et faiblit à chaque obscuration ; la surface éclairée « papil- lotte » (flicker des auteurs anglais, flimmern des auteurs alle mands). Enfin si le rythme des éclairements et des obscurations devient plus rapide encore, les variations d ’intensité cessent ; la plage observée semble éclairée par une source lumineuse cons tante dont l’intensité ne subit aucune modification. La persis tance apparente de la sensation visuelle rend imperceptible, l’ex tinction de la lumière. A ce moment, la fréquence critique de fusion est atteinte ; il est
Ophthalmologica – Karger
Published: Jan 1, 2010
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