Get 20M+ Full-Text Papers For Less Than $1.50/day. Start a 14-Day Trial for You or Your Team.

Learn More →

The Wealth Of Nations And The Environment

The Wealth Of Nations And The Environment Mikhail S. Bernstam Compte rendu par Sylvain Gallais0 Aucune critique à adresser à ce travail car les chiffres parlent d'eux-mêmes. Point n'a été besoin de théories et de modèles économiques complexes, ni de tests économétriques élaborés pour les faire avouer 1 . Mikhail Bernstam, (Monash University à Melbourne), surprendra plus d'un de ses lecteurs. Le constat est clair, l'exposé limpide : le trend de la pollution s'est inversé il y a une quinzaine d'années, en Occident, alors que seule la recherche du profit a conduit les acteurs économiques à diminuer les rejets polluants, comme si une "main invisible" les y avait incités. Cette observation n'est pas réellement une surprise 2 ; elle est ici amplement et définitivement confirmée et un ensemble d'explications cohérent est avancé. Tout d'abord, l'auteur ne traite que des ressources physiques dont l'emploi (stationnaire, industriel et transports) est source de rejets polluants dans l'air et l'eau (par exemple : énergie fossile, matières premières minérales). Ensuite cette dépollution reste limitée aux économies de marché concurrentielles alors que les pays (développés ou non) à économie centralisée accentuent au contraire leurs émissions de polluants. L'ouvrage comporte quatre parties et une brève conclusion. En premier, chiffres à l'appui, il http://www.deepdyve.com/assets/images/DeepDyve-Logo-lg.png Journal des Économistes et des Études Humaines de Gruyter

The Wealth Of Nations And The Environment

Loading next page...
 
/lp/de-gruyter/the-wealth-of-nations-and-the-environment-3XElZVAq60

References

References for this paper are not available at this time. We will be adding them shortly, thank you for your patience.

Publisher
de Gruyter
Copyright
Copyright © 1992 by the
ISSN
2194-5799
eISSN
2153-1552
DOI
10.1515/jeeh-1992-0109
Publisher site
See Article on Publisher Site

Abstract

Mikhail S. Bernstam Compte rendu par Sylvain Gallais0 Aucune critique à adresser à ce travail car les chiffres parlent d'eux-mêmes. Point n'a été besoin de théories et de modèles économiques complexes, ni de tests économétriques élaborés pour les faire avouer 1 . Mikhail Bernstam, (Monash University à Melbourne), surprendra plus d'un de ses lecteurs. Le constat est clair, l'exposé limpide : le trend de la pollution s'est inversé il y a une quinzaine d'années, en Occident, alors que seule la recherche du profit a conduit les acteurs économiques à diminuer les rejets polluants, comme si une "main invisible" les y avait incités. Cette observation n'est pas réellement une surprise 2 ; elle est ici amplement et définitivement confirmée et un ensemble d'explications cohérent est avancé. Tout d'abord, l'auteur ne traite que des ressources physiques dont l'emploi (stationnaire, industriel et transports) est source de rejets polluants dans l'air et l'eau (par exemple : énergie fossile, matières premières minérales). Ensuite cette dépollution reste limitée aux économies de marché concurrentielles alors que les pays (développés ou non) à économie centralisée accentuent au contraire leurs émissions de polluants. L'ouvrage comporte quatre parties et une brève conclusion. En premier, chiffres à l'appui, il

Journal

Journal des Économistes et des Études Humainesde Gruyter

Published: Mar 1, 1992

There are no references for this article.