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Cesare Segre (1928–2014)

Cesare Segre (1928–2014) JIAS 2016; 4(1): 172­173 Obituary DOI 10.1515/jias-2016-0013 Cesare Segre (1928­2014) a été l'un des premiers membres de notre Société: tout jeune professeur de Philologie Romane à la Faculté des Lettres de l'Université de Pavie, où il a exercé son magistère jusqu'à la retraite et à l'éméritat, il s'inscrivit à la branche italienne, qui venait d'être fondée en 1952 par Antonio Viscardi, professeur de Philologie Romane à la Faculté des Lettres de l'Université de Milan. Ayant joué un rôle capital dans la vie culturelle, on dirait mieux publique, italienne et internationale, l'étude de la Philologie Romane est néanmoins restée ­ comme l'affirmait lui-même ­ un élément constant de son parcours intellectuel. Dès le début, il a orienté une partie de son intense activité scientifique vers des thèmes arthuriens: une de ses premières études offre une analyse liguistique approfondie du texte des Lais de Marie de France, présentée comme préparatoire à une édition critique («Per l'edizione critica dei `lai' di Maria di Francia», in Cultura Neolatina, XIX/3, 1959, p.215­237); une deuxième, parue la même année, est consacrée aux rapports entre Lanval, Graeland et Guingamor (in Studi in onore di Angelo Monteverdi, Modena, 1959, II, p.756­770). *Corresponding author: Anna Maria Finoli, http://www.deepdyve.com/assets/images/DeepDyve-Logo-lg.png Journal of the International Arthurian Society de Gruyter

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Publisher
de Gruyter
Copyright
Copyright © 2016 by the
ISSN
2196-9353
eISSN
2196-9361
DOI
10.1515/jias-2016-0013
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Abstract

JIAS 2016; 4(1): 172­173 Obituary DOI 10.1515/jias-2016-0013 Cesare Segre (1928­2014) a été l'un des premiers membres de notre Société: tout jeune professeur de Philologie Romane à la Faculté des Lettres de l'Université de Pavie, où il a exercé son magistère jusqu'à la retraite et à l'éméritat, il s'inscrivit à la branche italienne, qui venait d'être fondée en 1952 par Antonio Viscardi, professeur de Philologie Romane à la Faculté des Lettres de l'Université de Milan. Ayant joué un rôle capital dans la vie culturelle, on dirait mieux publique, italienne et internationale, l'étude de la Philologie Romane est néanmoins restée ­ comme l'affirmait lui-même ­ un élément constant de son parcours intellectuel. Dès le début, il a orienté une partie de son intense activité scientifique vers des thèmes arthuriens: une de ses premières études offre une analyse liguistique approfondie du texte des Lais de Marie de France, présentée comme préparatoire à une édition critique («Per l'edizione critica dei `lai' di Maria di Francia», in Cultura Neolatina, XIX/3, 1959, p.215­237); une deuxième, parue la même année, est consacrée aux rapports entre Lanval, Graeland et Guingamor (in Studi in onore di Angelo Monteverdi, Modena, 1959, II, p.756­770). *Corresponding author: Anna Maria Finoli,

Journal

Journal of the International Arthurian Societyde Gruyter

Published: Oct 1, 2016

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